A la tombée de la Lune, du cœur à l’ouvrage pour La Rumeur

Les derniers parisiens

Au cœur de Pigalle, c’est des visages abîmés et éclairés par la lumière artificielle des néons qui apparaissent aux premiers plans de la caméra. Ces visages, ici devenus personnages principaux sont ceux de tous les jours, ceux des gens qu’on connait, du patron du café auquel on s’arrête après le travail pour taper un Parions… Poursuivre la lecture A la tombée de la Lune, du cœur à l’ouvrage pour La Rumeur